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08/11/2016

tr: Scontru di Morra - Musée de la Corse

 


 


 


 


 


> Message du 08/11/16 16:13
> De : "NUCCI Frédérique" <Frederique.Nucci@ct-corse.fr>
> A :
> Copie à :
> Objet : Scontru di Morra - Musée de la Corse
>
>

Musée de la Corse – Museu di a Corsica


 


SCONTRU DI MORRA


Entrée gratuite


 


Jusqu’au 30 décembre 2016, le musée de la Corse présente l’exposition Le patrimoine vivant. Être et transmettre, qui traite du patrimoine culturel immatériel (PCI).


 


À cette occasion, le secteur de la médiation culturelle du musée a souhaité multiplier les occasions de rencontres, de réflexions, de moments privilégiés autour de pratiques vivantes, transmises et ou en évolution à travers une programmation culturelle autour du PCI.


 


C’est dans ce cadre que le musée de la Corse organise en partenariat avec le Club Corsica Morra une rencontre autour du jeu traditionnel a morra, le mercredi 23 novembre, au musée de la Corse à partir de 19h.


Pour les moins aguerris, une initiation est proposée de 18h à 19h.


 


Les inscriptions sont gratuites et se font par téléphone au 06.20.33.22.39, par email club.corsica.morra@gmail.com, sur place 1heure avant le scontru.


 


Informations :


Musée de la Corse : Nathalie Ferrari – nathalie.ferrari@ct-corse.fr – tél. : 04 95 45 25 38


 


 


 
>
>
Frédérique NUCCI-ORSATELLI


Musée de la Corse – Museu di a Corsica


Communication


Tél. : 04 95 45 25 43


Courriel : frederique.nucci@ct-corse.fr


www.musee-corse.com


____________________________________


 


Hôtel de la Collectivité Territoriale de Corse
> 22, cours Grandval - BP 215 


20187 Ajaccio Cedex 1
>
www.corse.fr


 


 


 


 


 


 


 


 




Jeudi17 novembre 2016 à 18 h à l’Auditorium du Musée de Bastia, conférence de M.E. Nigaglioni sur les Trésors d'art sacré

Je partage également volontiers cette annonce d'une conférence de Michel-Edouard Nigaglioni à l'Auditorium du Musée de Bastia:

"les Trésors d'Art Sacré"

 

 

Société des Amis du Musée de Bastia

 

Avec le soutien de la Mairie de Bastia

 

Bastia le 6 novembre 2016

 

Chers Amis du Musée de Bastia,

Le Conseil d’Administration des Amis du Musée est heureux de vous proposer le Jeudi17 novembre 2016 à 18 h à l’Auditorium du Musée, dans le cadre thématique de Corsica Genovese, une conférence de Monsieur Michel Edouard NIGAGLIONI, Directeur du Patrimoine de la Ville de BASTIA, intitulée : Les « Trésors d’art sacré ».

 

Voilà des mots qui font rêver, évoquant la chaude lumière de l’or, le vif éclat de l’argent, le scintillement des pierreries. Cela évoque aussi les senteurs mystiques de l’encens, la pénombre secrète des arrières-sacristies, le cliquetis des clefs, le grincement des portes, le crissement des tiroirs. On se sent toujours privilégié quand un prêtre, un gardien ou un sacristain vous accueille dans le silence feutré du saint des saints et vous dévoile, pour un court instant, les objets les plus précieux de leur temple….

 

Comme d’habitude nous vous espérons très nombreux lors de cette conférence qui promet d’être, comme toujours, passionnante.

A bientôt le plaisir de vous retrouver.

Très amicalement,

Maurice DOLOVICI

FIL INFO : 3 Conférences dans le cadre de l’exposition Corsica Genovese:

DANTE :

-Vendredi 18 novembre, Auditorium du musée. Dre Luca BASSO.

-Samedi 19 novembre, au même endroit, Dre Emiliano BERI et Paolo CALCAGNO.

 

AMIS DU MUSEE :

-Prochaine conférence jeudi 07 décembre, Auditorium du musée : Philippe Colombani.

Siège social : Palais des Gouverneurs – 20200 – Bastia

Adresse postale : AMIS DU MUSEE de BASTIA chez Maurice DOLOVICI Résidence rive gauche. L’Annonciade 20200BASTIA

Tel: 06.03 66 91 65- Mail: amis.musee.bastia@gmail.com

 

Colloque de la Société des Sciences historiques et naturelles de la Corse: « la Corse et le monde méditerranéen de la fin du moyen-âge à la fin de l’époque moderne : Rapports économiques, enjeux stratégiques, échanges culturels»

Voici, pour ceux qui peuvent se libérer, l'intéressant programme du prochain Colloque de la Société des Sciences historiques et naturelles de la Corse -

BASTIA

- Jeudi au C.A.U.E.

- Vendredi à la Salle des délibérations du Conseil général de la Haute-Corse

 

Colloque « la Corse et le monde méditerranéen de la fin du moyen-âge à la fin de l’époque moderne : Rapports économiques, enjeux Stratégiques, échanges culturels"

 

Jeudi 17 novembre 2016

 

MATIN

08h30 : Accueil

09h00 : Allocutions d’ouverture par le président du Conseil général de la Haute-Corse et par le président de la Société des Sciences historiques et naturelles de la Corse.

Modérateur : Joseph Puccini

09h30 :La baie de Girolata et la Méditerranée : les dernières recherches archéologiques sous-marines.

Franca Cibecchini, E. Rieth, G. Dieulefet 

10h00 :La construction du fort de Girolata.

Antoine-Marie Graziani 

10h30 : Pause

10h45 :Calvi au bas Moyen-Âge, en particulier la tour du sel.

Paola Camuffo 

11h15 : Approche quantitative des céramiques importées à travers les sources archéologiques et historiques.

Emilie Tomas, avec la contribution de Jean-Christophe Liccia 

11h45 : Pause repas

 

APRES-MIDI

Modérateur : Jean-Michel Casta

13h45 : Le bienheureux Alberto Leccapecore, de la Corse à Pise et à Clairvaux (première moitié du XIIe siècle.

Alain Venturini 

14h15 :Aspects de l’Eglise corse aux XIVe et XVe siècles d’après des sources vaticanes.

Damien Broc

14h45 : Pause

 

15h00 : Les Corses à Rome: l’arciconfraternità del Santissimo Sacramento e di Maria Santissima del Carmine. Moments fondateurs et actes notables.

Stéphane Marchetti 

 

15h30 : La Corse comme étape et/ou enjeu en Méditerranée sur « la route du Levant » sous l’Ancien Régime et la Révolution française.

Francis Pomponi

16h00 : Fin de la première journée

 

 

Vendredi 18 novembre 2016

 

MATIN

Modérateur : Francis Beretti

9h00 : La Corse, un enjeu en Méditerranée ? 1533 à 1768.

Michel Vergé-Franceschi 

9h30 : Le royaume Corse de Paoli et le Bey de Tunis. Droit des peuples contre droit des puissants.

Denis Luciani

10h00 : Pause

 

10h15: Quel rôle joua la Corse dans les échanges commerciaux à destination de Marseille, marché international des huiles de Méditerranée dans la seconde moitié du XVIIIe siècle ? (enjeux et réalités).

Denis Jouffroy

10h45: La politique douanière menée en Corse de 1768 à 1793

Jean-Yves Coppolani

11h15 : Pause repas

 

APRES-MIDI

Modérateur : Jean Arrighi

13h45 :Une compagnie de volontaires corses au service de la Grande Bretagne en 1782.

Francis Beretti

14h15 : Passer la mer : voyageurs entre Corse et « terre ferme » à la fin du XVIIIe siècle.

Jean-Christophe Liccia

 

14h45 : Pause

15h00 : « L’Accademia dei Vagabondi » : une académie italienne aux XVIIe et XVIIIe siècles. 

Antoine Franzini 

15h30 :Peintres d’Italie continentale et commanditaires corses au XVIIe et XVIIIe siècles.

Michel-Edouard Nigaglioni 

 

16h00 : Clôture du colloque.

 

Les actes du colloque seront publiés dans le Bulletin de la Société des sciences.

 

29/10/2016

En rappel, l'article de Corsenetinfos sur le Festival d'automne de la ruralité

Je partage ici l'article de Corsenetinfos et les propos de Christian Andreani, le créateur du "Festival d'automne de la ruralité", autour des Chemins de Saint Martin:

http://www.corsenetinfos.corsica/Festival-d-automne-de-la...

 

 

Quant à moi, dans le cadre de ce festival, j'aurai le plaisir de  présenter l'orgue de Gaspard Domini à Barrettali, un bel exemple d'orgue de village, mercredi 2 novembre à partir de 14 h

photo Gasparo Domini.jpg

Gaspard Domini, la belle et modeste figure d'un excellent facteur d'orgue villageois, installé à Felicetu en Balagne, dans la deuxième moitié du XIX° siècle .

L'article de Corsenetinfos:

Festival d'automne de la ruralité : Une édition placée sous le signe du 1 700ème anniversaire de San Martinu

 

Rédigé par Nicole Mari le Mercredi 26 Octobre 2016 à 21:17 | Modifié le Jeudi 27 Octobre 2016 - 01:17

 

 

Rendez-vous incontournable de l'automne, u festivale d'autumnu di a ruralità, se tient du 27 octobre au 11 novembre, sur un territoire rural, chaque année, plus étendu. Pour sa 9éme édition, cet événement, axé sur la valorisation des patrimoines matériels et immatériels, propose sur 130 kilomètres, de l'extrême pointe du Cap Corse à l'Oriente, en passant par la Conca d'Oru, Bastia, le Golu et la Casinca, toute une série d'animations, de conférences, de visites guidées, d'itinéraires de découverte, de stages et concerts de musique du monde.... Une édition spéciale avec des innovations et des surprises sur fond de 1700ème anniversaire de la naissance de San Martinu et de l'ouverture officielle à Tours, le 4 juillet, jour de la Saint Martin d'été, de l'itinéraire culturel du Conseil de l'Europe, la Via Sancti Martini, dont le festival est, en Corse, la manifestation officielle et labellisée. Explications, pour Corse Net Infos, de Christian Andreani, président d'u Centru Culturale San Martinu Corsica.


Festival d'automne de la ruralité : Une édition placée sous le signe du 1 700ème anniversaire de San Martinu
- Pourquoi est-ce une édition spéciale ?
- C'est l'édition du 1700ème anniversaire de la naissance de Saint Martin de Tours, mais surtout de l'ouverture, le 4 juillet dernier à Tours, de l'itinéraire de la Via Sancti Martini qui traverse l'Europe sur 2800 kilomètres. A travers l'associu A Capella et U Centru culturale San Martinu Corsica, nous travaillons depuis 8 ans à la création de la partie corse de cet itinéraire. Ce festivale d'autumnu di a ruralità est la préfiguration des actions qui seront projetées dans l'expérimentation en Corse de « la bande verte et citoyenne » qui entoure l'itinéraire. Ces actions seront menées toute l'année sur l'ensemble des territoires de l'île, identifiés, après un travail d'expertise, comme porteurs de patrimoine martinien. Ce festival est original, c'est une sorte de laboratoire et l'une des manifestations les plus performantes produites, actuellement, sur l'Itinéraire culturel européen. L'idée est de valoriser et de redynamiser les territoires ruraux à travers la création d’A Via San Martinu.

- Quelles sont les nouveautés, cette année ?
- La première nouveauté, c'est, d'abord, la formidable dynamique qui se met en place autour du projet. Le festival couvre beaucoup plus de territoires avec une participation beaucoup plus importante des gens et des communes. Le projet d'itinéraire se structure de plus en plus avec l'extension de relais locaux et d'une offre qui provient des territoires eux-mêmes. Mon travail est de structurer ces offres sur tous les territoires. Ensuite, la durée du festival s'allonge : elle passe de dix à quinze jours, c'est dire son impact et son succès dans des territoires souvent oubliés en dehors des périodes estivales.

- Quels nouveaux lieux investissez-vous ?
- Nous intervenons, cette année, sur une quinzaine de communes en poursuivant notre percée vers le Sud. Nous sommes partis, il y a huit ans, de Patrimoniu pour progressivement rayonner dans la région de la Conca d'Oru, du Cap, du grand Bastia et du Golu. Cette année, nous investissons la Plaine Orientale, des villages de Piémont en Casinca et dans l'Oriente, tels que U Viscuvatu, Aleria, Canale di Verde et Linguizetta. De nombreuses communes possèdent en zone de Piémont des villages qui ont des correspondances en plaine. C'est le cas, par exemple, d’uViscuvatu, de Biguglia ou de Lucciana. La grande difficulté pour ces communes est de faire exister ces villages dans une interaction entre les territoires côtiers et les territoires de l'intérieur et de fixer la population dans la microrégion. Du côté du Cap Corse, nous ajoutons trois nouvelles communes : Meria, Barrettali et Morsiglia.

Christian Andreani, président d'u Centru Culturale San Martinu Corsica.
Christian Andreani, président d'u Centru Culturale San Martinu Corsica.
- Quelles activités nouvelles proposez-vous ?
- Les activités nouvelles sont les nouveaux lieux que nous faisons découvrir. Nous travaillons à valoriser l'existant. Depuis quelques années, nous commençons à appréhender l'ampleur du patrimoine martinien en Corse. Nous avons identifié sur le territoire, grâce à un travail d’étude, des œuvres d'art remarquables évoquant San Martinu, des peintures, des lieux, des bâtiments... Ne serait-ce qu’à Bastia qui possède un patrimoine martinien unique en Europe ! Les sites d’Aleria et de Lucciana sont liés à l’évocation de la Rome antique et aux premiers temps de la christianisation. De nombreux villages recèlent de trésors datant du baroque. Pendant toute la durée du festival, des guides conférenciers, des spécialistes tels que des historiens, des géographes, des géologues, des anthropologues et des ethnologues, viendront balayer les champs de la connaissance, définir tel édifice, le replacer dans le temps et dans l’espace, et le mettre en miroir avec la Ligurie et la Toscane avec qui nous partageons une histoire commune depuis l’Antiquité.

- Le festival sera présent à Bastia pour la 3ème année consécutive, mais, cette fois-ci, de manière plus particulière. Laquelle ?
- Nous intervenons, cette année, dans le contexte de l’exposition Corsica Genovese qui est exceptionnelle. Les liens entre Gênes, Bastia et San Martinu sont nombreux. Un exemple, l’hôpital de Gênes s’appelle San Martino. Simon Boccanegra, le premier doge de Gênes, a son palazzo dans l’hôpital San Martino, il envoie son frère Giovanni comme premier gouverneur de la Corse. Giovanni habite Biguglia, qui est la capitale de la Corse génoise, avant la création de la ville génoise à Bastia. Gênes, c’est aussi la Riviera ligure où a séjourné San Martinu au 4ème siècle. Savone a envoyé à Ajaccio la Madone de la Miséricorde. Partout, dans ce contexte, on trouve des traces de San Martinu. C’est pour cela que nous faisons de nombreuses actions, de Centuri jusqu’à Biguglia dont le lien avec Bastia est important et s’affirme de plus en plus.

- La journée de Centuri est assez inédite. Pouvez-vous expliquer ?
- La nouveauté, cette année, est une journée avec le Comité Régional des pêches pour aborder la thématique de la navigation entre les îlots ligures, toscans et corses. Centuri, qui est situé en face de la Ligurie, était une porte d’entrée vers la Corse. Parler de la mer, c’est parler d’une histoire commune entre la Ligurie et la Corse qui partagent des techniques de pêche et des manières culturellement très proches de consommer et de cuisiner les poissons. Avec le Comité des pêches, qui a mis en place le Pescaturismu, c’est-à-dire la valorisation de la pêche côtière, ce sera, aussi, l’occasion d’évoquer, dans le cadre du développement de la Via San Martinu, les problématiques de la mer et de la pêche aujourd’hui. On retombe toujours sur san Martinu qui a séjourné trois ou quatre ans à partir de l’an 357 sur l’île Gallinaria près d’Albenga, qui ne sont qu’à quelques miles nautiques de Centuri. Toutes ces constantes historiques prouvent que les territoires étaient liés entre eux depuis 1700 ans. Nous proposons de le découvrir avec, également, dans la même journée, le Conservatoire du littoral et une conférence de l’historien Antoine-Marie Graziani.

- Une journée est prévue, pour la première fois, à U Viscuvatu. Qu’y a-t-il d’intéressant ?
- U Viscuvatu est le cadre important d’un autre contexte du patrimoine martinien. Celui, comme à Canale di Verdi, des Seigneurs Cortinchi, dont l’énorme fief s’étendait de la région d’Aleria jusqu’à Bastia et même à Patrimoniu. Ces seigneurs féodaux très puissants, venus de Cortone en Toscane, dominent la Corse du Moyen âge, commandent des œuvres d’art et se font élire le jour di a San Martinu, le 11 novembre, parce que San Martinu est une figure emblématique du monde chrétien et le saint choisi par Charlemagne. U Viscuvatu a été créée par un Cortinchi, Opizzo Pernice, et l’endroit s’appelle u Belfiuritu parce qu’U Viscuvatu domine une plaine fertile, la Casinca. On revient toujours à cette notion de prospérité agraire. Ces territoires avaient une grande production agraire et on se servait de l’image de San Martinu pour les sacraliser et les protéger. C’est pour cela que l’église d’U Viscuvatu s’appelle, comme l’église de Patrimoniu, San Martinu. Elle recèle des trésors martiniens : des tableaux, des statues, une statuaire lombarde exceptionnelle sur un tabernacle en marbre, mais aussi un bâti exceptionnel… U Viscuvatu était en lien avec a Canonica.
- Qu’est-ce qui vous a poussé à investir l’Oriente et la Pieve di Verde?
- C’est, également, une première, pour nous. Et l’occasion d’évoquer une grande région de la Corse, une région agraire dans le contexte d’Aleria, grande métropole des civilisations grecques, étrusques et romaines. Pour projeter l’itinéraire A Via San Martinu, tout un travail d’inventaire est à faire. Nous avons commencé des recherches à Aleria et Canale di Verde, nous avons trouvé des toponymes à partir desquels nous pourrons fouiller. Avec notre réseau d’informateurs et d’archéologues, nous essayons d’avoir une meilleure connaissance du territoire, comme nous l’avons fait à Bastia. Nous progressons pas à pas sur l’île en fonction du patrimoine martinien que nous découvrons ou qu’on nous signale et, bien sûr, de l’envie des communes d’adhérer à ce projet de développement. Nous avons, déjà, noué des contacts très fructueux dans l’Extrême-Sud, notamment dans la région de Porto-Vecchio. Ce sera pour une autre édition !

Propos recueillis par Nicole Mari.

Festival d'automne de la ruralité : Une édition placée sous le signe du 1 700ème anniversaire de San Martinu
Lien : http://www.festivaledautunnudiaruralita.com/

23/10/2016

Concert de musique sacrée à Olmi Cappella

Jeudi 27 0ctobre à 18 heures

OLMI CAPPELLA

Eglise Saint Nicolas

 Concert

Olmi Cappella  clavier vignette blog.jpg

 

sur le petit orgue anonyme de 1808

Musique sacrée du répertoire baroque européen

… Frescobaldi, Cavazzoni, Brevi, Bassani, Hassler …

 

Annette Theis (chant)

Meinolf Brüser (orgue)

entrée libre

Ces deux jeunes musiciens de Berlin nous avaient régalés en 2013 à Speloncato... Cette année ils adoptent le petit orgue anonyme d'Olmi Cappella (1808) dont on a célébré cet été les 30 années de résurrection, grâce à l'excellent travail de Jean-François Muno ...