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25/09/2015

"L'Arabie saoudite et la Commission des droits de l'Homme de l'Onu : un scandale !"

Je diffuse ce communiqué de la Ligue des Droits de l'Homme

Difficile à avaler, non? 

une morale mortifère à géométrie variable:

vous avez dit "Démocratie" ?

 

 

 

> Message du 24/09/15 14:28
> De : "Infocom Ldh" <infocom-ldh@ldh-france.org>
> A : infocom-ldh@ldh-france.org
> Copie à :
> Objet : [infocom-ldh] Communiqué LDH : "L'Arabie saoudite et la Commission des droits de l'Homme de l'Onu : un scandale !"
>
>

Communiqué LDH

Paris, le 24 septembre 2015

 

L’Arabie saoudite et la Commission des droits de l’Homme de l’Onu : un scandale !

 

La désignation du représentant de l’Arabie saoudite au poste de président du comité chargé de sélectionner les rapporteurs spéciaux de la Commission des droits de l’Homme des Nations unies est en totale contradiction avec les valeurs qui devraient dicter la composition et la conduite de cette instance.

 

L’Arabie saoudite est un Etat théocratique et sexiste, portant atteinte à tous les principes édictés par la Déclaration universelle des droits de l’Homme et aux pactes qui en découlent. La fréquence des exécutions capitales, l’assassinat programmé d’Ali Mohammed Al-Nimr, qui a pour seul tort d’être un opposant politique, l’absence totale de libertés politiques et de libertés individuelles, voici qui aurait dû interdire, à l’évidence, la nomination de l’Arabie saoudite à cette nouvelle responsabilité.

 

Cette désignation montre les limites d’un système international capable à la fois de promulguer des textes protecteurs des droits de l’Homme et de mettre à la tête d’une instance censée les protéger le représentant d’un pays qui les viole ouvertement. Ceci exige une profonde réforme des Nations unies.

 

La LDH ne peut que s’étonner de l’attitude de la France, qui ne s’est pas opposée à cette nomination. On voit là un nouvel exemple de ce qui guide la politique internationale de notre pays et qui se résume à ses intérêts financiers et géopolitiques. Ce n’est pas comme cela que la France pourra apporter sa contribution à la promotion des droits de l’Homme, comme à la résolution des conflits actuels.

 

 

—————————————

138 rue Marcadet – 75018 Paris

Tél. 01 56 55 51 00 – Fax : 01 42 55 51 21

ldh@ldh-france.org – www.ldh-france.org

 

    

 

 

 

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09/09/2015

Solidarité avec les réfugiés avec la LDH Corse : Rassemblements

Je transmets. Pour ceux qui peuvent!

  

> Message du 08/09/15 17:59
> De : "Infocom Ldh" <infocom-ldh@ldh-france.org>
> A : infocom-ldh@ldh-france.org
> Copie à :
> Objet : [infocom-ldh] LDH Corse : Rassemblements
>
>

Solidarité avec les réfugiés

 

 

 

Aujourd’hui, ils sont des milliers d’êtres humains à fuir la guerre, la dictature et la misère.

 

Ils sont des milliers d’enfants, de femmes et d’hommes à demander une protection internationale.

 

Il y a près de 70 ans, au lendemain de la 2de guerre mondiale, marquée par de multiples exodes, la communauté internationale a décidé d’ériger un nouveau droit de l’Homme, le droit d’asile.

 

C’est ce droit, construit après les atrocités de la guerre, du fascisme et du nazisme que nous portons en responsabilité aujourd’hui en demandant le respect de la Convention de Genève sur les réfugiés.

 

 

 

Dans l’immédiat, cela passe par :

 

-          La suspension des accords de Dublin selon lesquels un demandeur d’asile peut déposer son dossier uniquement dans le pays où il a été enregistré par les autorités pour la première fois. Ce système qui se joue des égoïsmes nationaux empêche la mise en place d’une solidarité européenne.

 

-          L’application de la directive européenne relative à la protection temporaire en cas d’afflux massif de personnes déplacées afin de répondre à l’urgence de la situation.

 

-          L’organisation d’une conférence nationale sur le droit d’asile.

 

 

En Corse, nous appelons les collectivités locales, les représentants religieux et la société civile à se mobiliser concrètement en accueillant des réfugiés et en organisant des collectes.

 

Solidaires des mobilisations qui partout en Europe se développent, nous, signataires appelons les Corses à se rassembler jeudi 10 septembre 2015 à 18h devant les préfectures d’Ajaccio et de Bastia, pour porter ensemble cette exigence de protection d’autres êtres humains.

 

 

 

Premiers signataires : A Chjama, A Filetta, Association des Marocains de Corse, Association Euro-mediterranea, Associu Tocca a noï, Ava basta, CFDT, CGT, EELV Corse, FCPE 2A, FO,  FSU, Inseme per a Corscia, Ligue des droits de L’Homme, MCD, PCF, Per a pace, PNC, STC, Tavagna Club, UNSA…

 

 Ajaccio, le 08/09/2015

22/02/2015

la Collectivité territoriale unique en Corse, communiqué de la LDH Corse

 

A propos de la Collectivité territoriale unique en Corse, la Ligue des Droits de l'Homme communique:


> De : "Infocom Ldh" <infocom-ldh@ldh-france.org>
> A : infocom-ldh@ldh-france.org
> Copie à :
> Objet : [infocom-ldh] LDH Corse
>
>

COMMUNIQUÉ

> >  

La collectivité territoriale unique

 

La collectivité unique de Corse pourrait voir le jour dès le 1er janvier 2018. Telle est la conséquence de la proposition faite par le gouvernement d’inscrire ce projet dans le débat en cours sur la nouvelle organisation territoriale de la République. La Ligue des droits de l’Homme constate avec intérêt la réactivité du gouvernement sur ce dossier, et la prise en compte d’une résolution adoptée par l’Assemblée de Corse en décembre dernier. Cette accélération du calendrier politique aurait pour conséquence de remettre en cause une consultation des électeurs,  également demandée par l’Assemblée de Corse.

Certains élus revendiquent la tenue d’un référendum. Or, demander aux citoyens de répondre par oui ou par non, après quelques jours de débats publics, à une question complexe, est un leurre démocratique. Faut-il rappeler  qu’il aura fallu plusieurs années de débats au sein de l’Assemblée de Corse, un comité stratégique, la sollicitation de personnes qualifiées, la rédaction d’un rapport, pour que les élus en viennent à maîtriser le sujet. 

Dans le même temps, la LDH constate que les citoyens n’ont pas été appelés à  une  participation démocratique au cours de la phase d’élaboration du projet, a contrario de la méthode mise en œuvre pour le PADDUC. Le débat sur l’organisation des institutions territoriales touche pourtant au fonctionnement démocratique de la société. Il est aussi la conséquence des mobilisations contre le clanisme et le clientélisme.

Pour sa part, la LDH soutient le projet même si elle continue à s’interroger sur la place dans la future collectivité unique de l’intercommunalité, dont les élus ne sont pas issus du suffrage universel. Elle s’interroge également sur le fait que l’intersyndicale de la CTC se soit exprimée sur une insuffisance d’information concernant le projet.

Aussi, la mise en œuvre de la Collectivité Unique, dans le sens d’une simplification de l’organisation actuelle, ne doit pas oublier les finalités qu’elle s’est données. En organisant différemment l’action publique,  elle devra permettre un meilleur exercice de la démocratie locale et ce faisant  agir contre les inégalités sociales.

 

> > Corte, le 14/02/2015

> >  

> >  Le bureau de LDH Corsica

 

 

 

 

19/01/2015

tr: [infocom-ldh] LDH Corse

 

 Je transmets ce message de la Ligue des Droits de l'Homme corse:

 
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> Message du 19/01/15 11:06
> De : "Infocom Ldh" <infocom-ldh@ldh-france.org>
> A : infocom-ldh@ldh-france.org
> Copie à :
> Objet : [infocom-ldh] LDH Corse
>
>

LIGUE DES DROITS DE L'HOMME CORSE

COMMUNIQUE

 

Réunie en Assemblée Générale, à Corte, le samedi 17 janvier 2015, la ligue des droits de l’Homme Corsica a adopté la motion suivante :                                                                                        

« Comme partout en France, les Corses se sont rassemblés en très grand nombre contre les actes de barbarie commis par des idéologues terroristes et antisémites. Avec force, tous ont dit leur attachement à la liberté, à la fraternité et à la laïcité, pour lesquelles il nous faut rester mobilisés.

Dans ce contexte, certains s’en remettent à l’exception, au nom de notre sécurité. Ils projettent d'étendre toujours plus les pouvoirs de police, et d'affaiblir le contrôle judiciaire. Les Corses sont nombreux à pouvoirtémoigner des conséquences de dérives répressives :l’arbitraire et les atteintes aux droits. Entre la liberté et la sécurité, il n’y a pas à choisir.

D’autres, parfois les mêmes, voudraient contraindrela liberté d’expression, déjà victime du terrorisme. Sans injurier, sans diffamer, sans apologie du terrorisme, sans incitation à la haine raciale, il faut pouvoir tout dire parce qu’il faut pouvoir tout réfuter.

D’autres encore, s’en prennent aux musulmans. Ils stigmatisent. Ils pratiquent l’intimidation et la menace, de la même manière, dans un premier temps, que ceux qui ont fini par passer aux actes dans les locaux d’un journal, contre des policiers, dans un magasin casher. Attisant les haines, ils se font les alliés des terroristes.

Contre les violences, l’action de la justice et de la police, dans le respect du droit, est indispensable pour protéger les libertés. Le respect de l’Etat de droit, c’est aussi de garantir le fonctionnement normal de toutes les institutions. Dans ce sens, la LDH demande que le débat entre la Corse et la République, sur la base des propositions de l’Assemblée de Corse, soit remis à l’ordre du jour. Elle demande de se saisir de l'urgence sociale : la lutte contre les inégalités, et l'accès au droit au travail, au logement, à la santé… pour tous.

Mais ce sont les citoyens qui sont les premiers garants de la liberté. La LDH en appelle à la vigilance de chacun, pour que notre droit à l’avenir ne soit pas confisqué au nom d’un présent inquiétant.»

 

Au cours de l’AG, la LDH Corsica a renouvelé son bureau de section : Elsa Renaut (présidente), Jean Sébastien de Casalta (vice-président), Antonin Bretel (secrétaire), Maryline Antoni (secrétaire adjointe), Dominique Renucci (trésorière et déléguée régionale), Claudette Dézert (trésorière adjointe), Christine Paccou Mattei (déléguée régionale adjointe). Membres du bureau : Jean Claude Acquaviva , Jean-Pierre Arrighi, Gérard Mortreuil, André Paccou (élu national), Sampiero Sanguinetti, Marie Louise Serra, Michèle Zevaco. Conseillère juridique : Frédérique Campana.