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21/02/2010

Le relevage espéré de l'orgue de Corbara

"Ne désespérez jamais. Faites infuser davantage"

(Henri Michaux)

Ambre et enfants.jpg
... les enfants à la découverte de l'orgue de Corbara ...
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... en 2004, l'orgue de Corbara a servi de formidable outil pédagogique à la classe d'Algajola : plusieurs semaines de travail consacré à cette découverte par ces enfants et  mon amie Colette Fernandez, leur dynamique institutrice, débouchant sur un cédérom interactif réalisé par la classe:
" A LA DECOUVERTE DE L'ORGUE CORSE ". 
Cette expérience a été suivie de nombreuses autres actions menées avec d'autres enfants et toujours avec autant de plaisir partagé ... La preuve, s'il en était besoin, que l'orgue est un patrimoine bien vivant si l'on se donne la peine de le réveiller! 
Suffiate!.jpg
" Suffiate! " Alicia découvre un sport nouveau ...

orgue corbara volets fermés.jpg

L'orgue Agati/Tronci de CORBARA, aujourd'hui protégé au tître des Monuments Historiques, va enfin connaître prochainemenent les travaux de relevage que ce bel instrument nécessite,  plus de trente ans après sa restauration en 1979 par Philippe Hartmann.

Cet orgue a été  amoureusement servi pendant de très longues années depuis sa restauration par son organiste titulaire, Lina VIGOUROUX, cette dame remarquable dont on regrette aujourd'hui l'absence : tant elle a pu servir son instrument, elle l'a joué, entretenu, veillé avec la plus grande fidélité. Je lui dédie aujourd'hui cette note sur l'instrument de Corbara.

Cet espoir de voir restaurés ou relevés tous ces instruments de Corse qui méritent quasiment tous le label " d'orgues historiques" a été nourri par les efforts conjugués de tous ceux qui, depuis des années, oeuvrent à la reconnaissance de ce magnifique patrimoine. Je rends ici en particulier hommage au remarquable travail de Michel FOUSSARD, qui  a travaillé ces dernières années avec ténacité,  comme expert technicien - conseil pour les Monuments Historiques,  à la protection de ces orgues qui nous tiennent à coeur. Aujourd'hui c'est Michel COLIN qui lui succède dans cette tâche ardue .

Voici le texte de la notice que Michel Foussard avait rédigée en 2006 pour obtenir la protection de l'orgue de Corbara.

"CORBARA (Haute Corse)

 

 

 Eglise paroissiale A Nunziata

 

L’orgue, XVIIIème siècle, Agati-Tronci, 1890

Corbara orgue blog.jpg

(photo prise cette semaine : l'orgue souffre d'un silence forcé depuis septembre 2009, faute de branchement électrique.
  Il est grand temps de le réveiller et de le soustraire ainsi plus efficacement à la dent des rats...)

 

 DOSSIER DE PROTECTION.

au titre des Monuments Historiques

 

Direction régionale des affaires culturelles de Corse

Conservation régionale des Monuments Historiques

 

Commune de Corbara

 

Mai 2006

Pistes d'histoire

                  

                  Nous ne connaissons actuellement aucun document qui nous puisse apporter quelque lumière sur l’histoire de l’orgue de Corbara. Selon Michel Franceschini, l’infatigable défenseur du patrimoine de cette cité lumineuse, les riches archives de la collégiale attirant l’appétit des rats, leur dernier dépositaire crut expédient de résoudre la question par le feu. Les rats laissent au moins quelques bribes autour des trous…

 

                        Toutes nos pistes se résument donc à l’interrogation du matériel existant. Sur l’orgue lui-même, aucun doute : daté de 1890, il s’agit d’un instrument typique, parfaitement homogène et bien conservé, de la firme Agati-Tronci, numéro 1124 (numéro qui additionne les opus respectifs de la Maison Agati et de la Maison Tronci, dont le dernier représentant absorbe Agati).

 

                        Le buffet, caractéristique, du XVIIIème siècle, mais remanié, comme on le voit à la nouvelle découpe des cintres des plates-faces latérales, atteste au moins l’existence d’un orgue antérieur.

 

                        De cet instrument subsiste sans doute la belle façade d’étain, aux écussons imprimés en ogive surmontée d’un point repoussé , avec pour le tuyau central, trois points formant croix, les organetti morti des étages latéraux, ainsi que les traces largement circulaires de deux soufflets cunéiformes et de leurs poulies de levage au fond du soubassement. Les montants des trois plates-faces de 11 tuyaux chacune, gardent les traces des barres de soutien au quart supérieur de leur hauteur.

 

                        Le décor des montants, comme du tambour côté extérieur, réalisé en chiquetage, témoigne de la même gamme chromatique et du même travail que nous relevons sur le buffet voisin de Costa,

tuyaux de façade gauche.jpg

 - décor sans doute repris à Costa sur le décor du XVIIIème siècle, et que nous pourrions partiellement attribuer à Bernardo Zigliara, d’Algajola, qui signe ostensiblement son œuvre (à Costa), en 1819.

 

 

                        De 1819 également datent les volets de toile tendue sur cadre peints à double face par Francesco Giavarini, auteur des fresques de la voûte de l’église San Salvator de Costa.

volets fermés.jpg

La tribune en revanche, et le tambour côté nef, reçoivent un décor en faux marbre brun, d’un style tout à fait différent.

 

 

                        Le motif d’attique et les claires voies du buffet, les figures sculptées, l’architecture de la tribune, le dessin de la rambarde suggèrent à l’évidence le travail des Saladini. Très vraisemblablement, la tribune actuelle est bien postérieure au buffet, le cas ne se trouvant pas exceptionnel en Corse, comme on le voit par exemple sur l’orgue de Speluncato, œuvre de Crudeli en 1810, sur une tribune des Saladini datée de 1821.

tribune et buffet détail.jpg

 

 

 

 

                        Entre l’instrument du XVIIIème siècle et celui d’Agati-Tronci, rien ne nous éclaire sur des états intermédiaires, à l’exception de deux curieux réservoirs à table parallèle de 90 x 90 cm, du type à lanterne, qui déploient leurs cinq plis sur un mètre de course, avec un piton de traction au centre pour un levage par cordes, réservoirs déposés sur le plancher de la tribune.

 

                        Divers éléments des caisses d’expédition de Livourne subsistent dans l’instrument, particulièrement le panneau surmontant le pédalier en reconversion économique, ou tel panneau latéral gauche conservant l’étiquette d’expédition, agrémentée d’une esquisse grivoise. Toujours livrés clefs en main, les orgues d’Agati-Tronci ne demandent plus qu’à être montés, d’où l’absence de tout matériel antérieur, à l’exception des vestiges signalés plus haut.

étiquette de la DittaAgati Tronci.jpg

 

 

Descriptif

 

 

                        Le clavier  de 54 notes, surmonté de la belle étiquette sous verre de la firme, commande une étendue de do1 à la5, avec permanence de l’octave courte do/mi, conservée sur les claviers d’orgues italiens jusque fort avant dans le XIXème siècle, comme on le voit ici, et même au-delà.

clavier.jpg

 

                        Le pédalier de 17 touches, à octave courte jusqu’au sol# 2, plus une touche d’accessoire, donne chromatiquement les basses, et en intercalaires, les compléments de la seconde octave que la reprise en octave n’assure pas du fait de l’octave courte, alors que le sommier de pédale ne compte que 11 notes.

 

                        La traction mécanique de même, reste fidèle aux traditions italiennes, avec son abrégé de fer, et de même pour les abrégés de la Terza Mano, des Campanelle et du pédalier, qui rejoint un abrégé de fer sur l’avant, puis, par l’intermédiaire de rondins rejoint l’abrégé de pédale en fer sous le sommier de pédale.

abrégé.jpg
(l'abrégé)

 

                        La traction des jeux, mécanique, s’effectue par fils de fer des tirants de registres aux tournants en fer àdroite, avec renvoi par fil de fer jusqu’aux gros écrous de bois qui vont tirer les têtes de registres sur le côté droit du sommier.

tirage des jeux.jpg

 

                        Le sommier est à ressorts, comme traditionnel en Italie pour les grands instruments. Les soupapes sont collées en queue, les ressorts sont à double boucle, la fermeture du tampon de laye s’effectue à l’italienne par tirants de bois.

 

                        Les quatre premières notes se trouvent aux extrémités, la suite des basses se trouvant en mitre au centre, avec, de part et d’autre le médium en V, et les dessus intercalés en A contre la mitre centrale.

tuyaux façade centre.jpg
(les tuyaux de façade)

 

                        L’ensemble de la tuyauterie est de belle qualité, coupée au ton. La façade est en étain, la Tromba de fer blanc (anches en bec de canard). Le Corno Cinese est constitué de tuyaux à bouches étroites côniques dans le sens pyramidal, les seuls de ce type dans l’instrument. Le Clarone, de fer blanc, est est une basse cônique assez étroite surmontée d’une très courte portion cylindrique, en Violoncello. Le Corno Inglese, d’étain,avec pieds et boîtes en fer blanc, est une grosse clarinette à pointes larges. La Viola est également d’étain, avec dents régulières. La Flauto in ottava, de taille large, est de plomb, avec dents. L’ensemble du Ripieno, en plomb, porte également des dents régulières et présente la composition suivante :

 

Do1                                                     Fa#3                                       Fa#4

          1’1/3                                                      2’                                         2’2/3

             1’                                           1’1/3                                          2’

           2/3                                            1’                                         1’1/3

           1/2                                            2/3                                          1’

orgonetti morti.jpg
(les tuyaux muets de la façade: organetti morti - Ici l'on voit bien le décor raffiné en chiquetage que l'on retrouve sur le petit orgue de Costa)

                        L’alimentation telle que trouvée par Philippe Hartmann en 1978 est à pompes cunéiformes et réservoir à tables parallèles, à deux plis (un rentrant, un sortant) de 140x0,81 cm. Le restaurateur a fourni un ventilateur Meidinger, ainsi qu’une boîte régulatrice permettant l’emploi des pompes à main.

 

                        La composition, précisée dans une belle graphie sur planchettes de bois (illustrations III) se découvre comme suit dans la disposition des tirants de registres sur deux files à droite du clavier :

 

 

Campanelle (légèrement à gauche, avec planchette disposée verticalement)

                                                                       Principale bassi (8’)

Tromba nei bassi (8’)                                     Principale soprani

Tromba nei soprani                                        Ottava nei bassi (4’)

Clarone nei bassi                                            Ottava nei soprani

Corno Inglese soprani (16’)                           Decima quinta (2’)

Cornetto Cinese nei soprani (5’ 1/3) Ripieno di 4 canne per tasto (1’ 1/3 à ½)

Flauto in ottava                                             Viola nei bassi (4’)

Cornetto nei soprani (4’+ 2’2/3+1’3/5)       Voce Umana nei soprani (8’)

Ottavino nei soprani                                      Contrabassi (8’large+4’étroit sur les

Terza mano                                                    premiers do,ré, mi, fa, sol, la, la2, si

                                                                       puis reprenant à l’octave grave du do2, les                                                                         touches intercalaires tirant au sommier un 16’+4’                                                            pour les deuxièmes do, ré, fa, sol).

 

Au-dessus du pédalier, sur la droite : pédale en bois du Polisire (combinaison libre à bâtons tirés), Tira Ripieno (pour les six premiers registres), Timpano (2 tuyaux de bois discordés pour imiter le roulement de la timbale), avec grosse caisse retrouvée dans l’instrument, mais non encore restaurée.

 

campanelle.jpg
(e campanelle)

                        Etat de conservation. La restauration dePhilippe Hartmann s’avère d’une très belle tenue. Depuis bientôt trente ans, l’orgue fonctionne remarquablement sans avoir connu d’interventions importantes. Il conviendrait toutefois de vérifier l’aplomb du buffet sur la tribune, dont Philippe Bachet signalait l’affaissement dans son inventaire de 1988. Aucun désordre majeur ne s’est produit depuis, mais la pente vers l’arrière du sommier n’est en rien rassurante pour la stabilité future de la tuyauterie.

 

                        Il convient ainsi d’envisager aujourd’hui un relevage, qui pourrait éventuellement revenir sur certaines tendances d’harmonisation imposées contre son gré à Philippe Hartmann par un courant ‘saladiniste’ inadapté ici, comme le sentait bien le restaurateur.

 

Conclusion

 

                        La haute qualité de la tribune et du buffet, la très belle conservation de tous les éléments qui constituent l’orgue d’Agati-Tronci, la richesse de ses timbres, et son caractère si représentatif des derniers feux de la facture italienne traditionnelle, convergent de toute évidence vers la reconnaissance de l’orgue de Corbara comme Monument Historique. "

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Ajoutons à cela que l'orgue ancien fut entretenu en 1855 par Giovanni DE FERRARI et en 1873 par notre cher Gasparo DOMINI, avant sa transformation en 1890 par la Firme AGATI / TRONCI ...

 

(à suivre!)

 

 

 

                 

04/10/2009

Dominique Paccioni à Occhjatana

Le décor monumental de l'église Santa Maria d' OCCHJATANA

Occhjatana, église extérieur.jpg

Au coeur du village d'Occjatana, tout proche de Belgodère , cette belle église paroissiale Santa Maria ( vers 1542) remplace l'ancienne église San Bartu  (Saint Barthélémy) .

Occhiatana ensemble église blog.jpg

Samedi 19 septembre, dans le cadre des Journées du Patrimoine, nous avions proposé un sujet qui nous faisait partir à la découverte de quelques artistes et artisans qui ont fait le patrimoine de la Balagne. Des difficultés techniques majeures ne m'ont pas permis de "fonctionner" comme je l'avais envisagé, mais je voudrais vous faire partager le plaisir que j'ai eu à préparer ce travail. Et avant tout, j'adresse à notre précieux ami, l'historien de l'art bien connu de nous tous Michel-Edouard NIGAGLIONI un remerciement chaleureux ... perpétuel ... j'entonne un hymne ... bref, je lui rend un hommage reconnaissant et amical pour sa disponibilité indéfectible et patiente, car il a toujours répondu à mes questions concernant les artistes de Corse rencontrés en écumant les églises de la Corse du Nord. Je vous signale, si vous ne le savez pas encore, qu'il prépare une véritable bible sur les peintres de Corse ... on l'attend avec impatience. 

Nos petites églises de village en Balagne sont pleines de ressources inattendues, et parmi tant d'autres, la présence des décors monumentaux, le plus souvent datables du XIXème siècle, nous surprend et nous enchante. àAcette période, l'industrie des couleurs a beaucoup progressé et des couleurs autrefois rares à cause de leur chèreté deviennent accessibles aux bourses villageoises: les bleus, en particulier, vont commencer à s'épanouir sur les voûtes avec une allégresse qui témoigne de cette libération pécunière ... L'émulation entre les communautés villageoises va aussi faire son office, chacune essayant de surpasser l'autre dans le coeur du village, dans son église paroissiale ... 

Aujourd'hui, je vous présente le beau décor peint par Dominique PACCIONI pour l'église Santa Maria d'Occhjatana. Ce peintre, D. Paccioni, était né en 1843 à Corté. Peintre portraitiste, photographe, il travaille aussi bien pour les familles de notables de Haute Corse que pour les églises : vous retrouverez bientôt sa notice dans le livre de M.E. Nigaglioni...

Ce décor a remplacé vers 1890 des peintures à fresque mal en point, piquetées ou détruites.

Ghjuvannina Lanzalavi- Guironnet en a fait la restauration avec d'autant plus d'amour qu'elle est une enfant du village et elle a restitué dans sa vivacité ce bel ensemble du choeur dont je montre à présent quelques images.

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Au-dessus de l'Arc triomphal du choeur, la scène de l'Annonciation avec l'Archange Gabriel et la Vierge.
Dans la voûte bleue du choeur  et auréolé d'anges ,
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Dieu Créateur dans sa Genèse.
Dans l'abside, les quatre Evangélistes avec la représentation du Tétramorphe:
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Saint Marc
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et le lion au regard pensif
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Saint Matthieu écoute, attentif, l'Ange qui lui énumère sur ses doigts les générations de l'ascendance du Christ: un véritable portrait.
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Saint Luc brossant le portrait de la Vierge: c'est le seul qui n'est pas accompagné de son symbole habituel (le boeuf)
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Saint Jean et l'Aigle à Patmos rédigeant son Apocalypse.
Les quatre Evangélistes sont séparés par des décors fantaisistes d'inspiration profane:
DSC_1104.JPG
(merci à Claude Goergen!)
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comme ce mystérieux visage féminin
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ou ce faune inquiétant à la chevelure vipérine...
Dominique Paccioni avait peint l'ensemble de l'église: le décor de la voûte a malheureusement totalement disparu, mais il reste les médaillons peints dans les écoinçons des arcs de la nef centrale.
St Roch et St Pierre -.jpg
St Roch et St Pierre (?)
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  ?  et  ?
St Barthélémy et -.jpg
St Barthélémy (le saint patron d'Occhjatana ) et ?
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St Simon et St Sébastien (?)
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personnage bleu.jpg
sortant du cadre, ? ( merci Claude pour cette série)
Occhiatana ensemble côté orgue.jpg
Au fond de l'église le bel orgue muet de Luiggi DE FERRARI (1839) sur sa tribune de Fabbio LECCA. Ensemble classé par les Monuments Historiques, en attente de restauration...

  

28/06/2009

Parcours de découverte de "La Montagne des Orgues"

L’ASSOCIATION SALADINI 

propose ses prochains parcours de

« LA MONTAGNE DES ORGUES »

 

 

Le mardi 30 JUIN :

 une matinée en BALAGNE 

Rendez-vous à Belgodère à 8h 30 place de l’église, puis Costa, Speloncato…

orgue de Costa blog.jpg

 

Le jeudi 2 JUILLET :

 une journée en CASTAGNICCIA

Rendez-vous à Ponte Novu à 9H sur le parking de la poste, puis Castellu di Rustinu, Piedicroce, Campana, Verdèse, La Porta, Stoppia Nova…

St Jean Castellu blog.jpg

 

Une journée initiatique et conviviale pour découvrir la Corse autrement, vous immerger en musique dans ses paysages, son patrimoine, son histoire, ses traditions rurales : des clefs pour vous ouvrir les églises, vous faire comprendre leur sens caché et vous faire entendre leurs orgues historiques que l’on vous joue …

 

Renseignements et réservations au :

04 95 61 34 85

et 06 17 94 70 72

 

adresse mail : elizabethpardon@orange.fr

Blog : elizabethpardon.hautetfort.com

Site : www.montagne-des-orgues.com/

 

 

 

 

27/06/2008

dimanche 29 Juin La Montagne des Orgues accueille Les Amis du Parc

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COSTA

Ce dimanche 29 Juin La Montagne des Orgues accueille la vénérable association des AMIS DU PARC. Ce sera un grand plaisir de les entrainer en Balagne découvrir les églises (et leurs orgues!) de Costa,

Costa Confrérie copie.jpg
et sa confrérie...
l' organiste de Speloncato blog.jpg
SPELONCATO,
Muro, église et orgue 015 copie.jpg
MURO...
Aregno 14 3 2006 009 copie.jpg
   et AREGNO...
A bientôt!

29/05/2008

Pierre PARDON expose à l'Ile Rousse

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L’association Qualità Identità organise :

l'exposition des œuvres de

PIERRE PARDON

 du 3 au 21 juin 2008

Spaziu Pasquale Paoli - Place de l’Hôtel de Ville

20220 ILE ROUSSE  

Spaziu ouvert du mardi au samedi de 15h à 19 h.

Tél : 04 95 56 29 45

qualita-identita@wanadoo.fr

Vernissage le samedi 31 mai à 19 h