10/12/2013
tr: Puntettu : La mobilisation repart pour empêcher les démolitions contre nature !
Je diffuse ce message du Comité de quartier Puntettu ...
> Message du 09/12/13 22:44
> De : "Comité de quartier du Puntettu"
> A : "Moi"
> Copie à :
> Objet : Puntettu : La mobilisation repart pour empêcher les démolitions contre nature !
>
>La mobilisation repart pour empêcher les démolitions contre nature !
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Nous avons besoin de vous pour pouvoir payer les prochains frais d'avocats, alors même 5€, 10€ nous seraient d'un grand secours. Vous recevrez un reçu par email. Les chèques sont à rédiger à l'ordre de "comité de quartier du Puntettu" et à adresser à : comité de quartier du Puntettu, 1 rue des mulets, 20200 Bastia.
Téléphone de contact : Michèle Chirat : 06 72 67 32 94 Bernard Cesari 06 23 23 18 22
>
>
Vous avez signé la pétition salvemu u Puntettu,
Le comité de quartier espérait que la réunion du conseil des sites de ce lundi 9 après midi à Ajaccio permettrait d'obtenir l'inscription de la Maison Montesoro au titre des monuments historiques.
> Mais nous avions étudié la composition de cette commission, et la présence majoritaire d'élus membres de la même formation politique que le maire de Bastia, comme Paul Giacobbi, Nicolas Alfonsi ne nous laissait pas beaucoup d'espoir, si l'on y ajoute les pressions exercées sur un certains nombres de fonctionnaires, d'associations dépendant de subventions de la CTC. Le résultat est tombé, il est évidemment négatif, mais sur un score moins pire que prévu puisque 9 membres du conseil des sites ont bravé les pressions et voté pour la protection, malgré des paroles indignes et menaçantes préférées en séance. Ce résultat légitime déjà cette demande .
> Alors nous entrons dans une nouvelle phase, qui va consister d'une part en une lutte judiciaire dès que le préfet aura validé cette décision, ainsi qu'en une lutte sur le terrain dont vous serez tenus informés. Nous ne laisserons pas annihiler une part de l'histoire de bastia, une part de son patrimoine, quelque soit les millions d'euros que nous avons en face de nous ! Salveremu U Puntettu!
>
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> Vous avez signé sur "change.org" notre pétition pour sauver le quartier du Puntettu des démolitions planifiées par la mairie de Bastia
> Our mailing address is:
Comité de quartier du Puntettu
1 Rue des Mulets, Bastia, France
Bastia 20200
France
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02:36 Publié dans solidarité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quartier puntettu, bastia | Facebook |
27/11/2013
tr: [ISULE MAESTRE] Speloncato : Collecte et convoi humanitaire pour la Sardaigne
Avis!
Solidarité en Balagne pour la Sardaigne sinistrée
Je transmets ce message d'Isule Maestre:
> Message du 26/11/13 21:32
> De : "Raphaël Quilici"
> A : "ISULE MAESTRE"
> Copie à :
> Objet : [ISULE MAESTRE] Speloncato : Collecte et convoi humanitaire pour la Sardaigne
>
Raphaël Quilici 26 novembre 22:31
Speloncato : Collecte et convoi humanitaire pour la Sardaigne
www.corsenetinfos.fr
La solidarité avec la Sardaigne ne faiblit pas. En Balagne par exemple, comme partout à travers la C...Voir la publication sur Facebook · Modifier les paramètres de courrier électronique · Vous pouvez répondre à ce message pour commenter.
07:10 Publié dans solidarité, Speloncato | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sardaigne sinistrée | Facebook |
10/11/2013
Haivan aux Philippines
Le typhon Haivan aux Philippines
Photo : AFP PHOTO/NOAA/HANDOU
On reste sans voix devant le malheur apocalyptique qui frappe à nouveau la population des Philippines.
Empathie, impuissance, révolte, honte : ne sommes-nous pas en partie responsables de l'intensité de ce typhon monstrueux, sans nul doute lié au dérèglement climatique, et à notre mode de vie actuel ?
Ne sommes-nous pas tous reliés?
Certes nous pouvons et devons apporter notre soutien solidaire, mais plus encore devrions-nous tenter de contribuer, à notre petite mesure et au quotidien, à la décroissance de notre surconsommation délirante ...
En attendant mieux ...
"Tout proche
Et difficile à saisir, le dieu"
(Palmos, Hölderlin)
Et ce chant BÂUL, de Lâlan, un de ces "fous de l'absolu":
" Je ne l'ai pas même aperçu un seul jour :
Près de ma demeure il est une cité-des-miroirs
Qu'habite un Voisin
(Que je n'ai pas même aperçu un seul jour)!
Des eaux profondes cernent l'autre Cité-
Sans nul rivage ... sans même un seul radeau;
j'ai tant souhaité
Lui rendre visite-
Comment puis-je accéder à cette Cité?
Que dire encore du Voisin?
Il n'a ni pieds, ni mains, ni cou, ni tête, hélas!
Tantôt il aime planer dans l'air,
Tantôt flotter sur l'eau.
Grâce au moindre contact du Voisin
S'évanouiraient mes tourments à attendre la Mort.
Bien que Lâlan et Lui habitent le même lieu,
Cent mille lieues les séparent l'un de l'Autre!
Lâlan
11:59 Publié dans apocalypse, solidarité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : typhon haivan, philippines, surconsommation, dérèglement climatique | Facebook |
01/10/2013
Une réaction à la lettre ouverte du collectif Aitone 2013
En espérant pouvoir en publier d'autres,
quelles qu'en soient les origines,
voici la première et seule réaction pour le moment à la lettre ouverte du collectif Aitone (lettre adressée à : Monsieur Dominique Bucchini, Président de l’Assemblée de Corse
Monsieur Paul Giacobbi, Président du Conseil exécutif
Mesdames et Messieurs les Présidents de groupes,
- voir la note précédente sur ce douloureux sujet:
http://elizabethpardon.hautetfort.com/archive/2013/09/29/lettre-ouverte-du-collectif-aitone-2013-5183649.html
" Femu a Corsica communique, avec prière d’insérer
Evisa : Soutien à Jean Jacques et Gigi Ceccaldi
Depuis des mois, la famille Ceccaldi d’Evisa vit une situation dramatique. Dans ce contexte, la démarche du collectif AItone qui mène une action de sensibilisation d’ampleur, utile et solidaire, est exemplaire. Elle la mène depuis plusieurs semainesaux côtés des Ceccaldi, dont l’entreprise vient d’être durement frappée pour ladeuxième fois en l’espace de 6 mois.
Femu a Corsica tient à saluer l’initiative prise cette semaine par le collectif, à savoir une lettre envoyée aux élus de l’ile pour alerter la Corse, face à l’inacceptable et auprévisible. Cet appel solennel nous interpelle car il exprime une profonde inquiétudeque nous partageons, quant à la situation subie par une famille dont le seul défautest de vouloir « vivre et de travailler au village ». Un drame économique et humain se profile dans un lascia corre quasi institutionnalisé et un silence pesant.
Cette lettre du 26 septembre 2013 prend valeur de symbole, face au renoncement etau fatalisme ambiant ; Pouvons-nous accepter d’y répondre par un simple accusé de réception ? Pouvons-nous, les uns et les autres, laisser une famille de travailleurs dece monde rural vivre encore longtemps dans la crainte du pire ?
Nous savons nos mots et nos communiqués insuffisants et pour l’heure incapables d’arrêter les spirales de mécanismes mortifères. Ils disent pourtant notre volonté profonde d’en finir avec des actes et un système qui détruisent chaque jour un peu plus les fondements et les valeurs de notre communauté.
C’est pourquoi, au nom de notre combat au service d’un autre avenir pour le Peuple Corse, Femu a Corsica reste mobilisé, est, et sera, dès demain, partie prenante de tous les engagements prônant le respect d’autrui ainsi que la recherche de la paix etdu développement, à Evisa et partout ailleurs.
En ces circonstances difficiles, Femu a Corsica assure la famille de Jean Jacques et de Gigi Ceccaldi de sa profonde amitié et de son soutien face à l’épreuve, et appelle les corses à se joindre à l’appel du collectif Aitone.
Inseme, tutti, perchè chì stu paese si merita un’avvene di pace !"
17:10 Publié dans la violence en Corse, solidarité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
29/09/2013
Lettre ouverte du collectif Aitone 2013
A méditer , diffuser ... et soutenir !
Je relaie cette lettre ouverte des amis du collectif Aitone 2013 aux élus:
Lettre ouverte du collectif Aitone 2013
A,
Monsieur Dominique Bucchini, Président de l’Assemblée de Corse
Monsieur Paul Giacobbi, Président du Conseil exécutif
Mesdames et Messieurs les Présidents de groupes,
Mesdames et Messieurs les élus,
Non au racket !
Menaces de mort, tentatives d’extorsion de fonds, attentats : Jusqu’où vont-ils aller ?
Une vie de travail détruite et des enquêteurs impuissants face à l’angoisse d’une famille !
Le 19 septembre dernier, l’entreprise de travaux publics AITONE TP, était victime d’un incendie criminel : trois engins de chantier étaient brûlés dans la cour du hangar, avec pour seuls témoins des caméras que l’entrepreneur, Jean-Jacques CECCALDI avait lui-même dû faire installer.
Si Jean-Jacques CECCALDI a eu recours à ce système de surveillance, c’est que, depuis bientôt deux ans, il est en butte à des menaces de mort et à tentatives d’extorsion de fonds auxquelles il n’a pas voulu obtempérer.
L’affaire a commencé en 2011, par l’incendie criminel des engins de chantier appartenant à une entreprise sous-traitante, sur un chantier de travaux publics dont l’entreprise AITONE TP avait obtenu la maîtrise d’ouvrage.
Cet attentat était suivi d’une demande de fonds à hauteur de 50 000 euros directement adressée à Jean-Jacques CECCALDI par téléphone accompagnée de l’injonction de ne plus faire travailler de portugais.
Plainte était déposée pour ces faits.
Quelques jours à peine après le dépôt de cette plainte JJ CECCALDI était directement appelé sur son téléphone portable : une voix anonyme l’informait "que puisqu’il avait déposé plainte ce serait désormais pour lui comme pour les portugais" !
Ces menaces furent effectivement mises à exécution : coups de téléphone anonymes, menaces de mort, tentatives de plasticage en 2012 d’un engin, demande ensuite à nouveau de 100 000 euros de fonds, le tout subi pendant de longs mois dans l’isolement et le silence, la plus grande discrétion lui ayant été demandée afin de ne pas gêner l’enquête et les enquêteurs.
….jusqu’à cette nuit du 9 mars, où son hangar et tout le matériel qu’il contenait, furent complètement détruits !
Depuis le début de cette affaire, Jean-Jacques CECCALDI et son épouse, qui assure la partie administrative de l’entreprise, ont fait le choix de la légalité et de la Justice.
Rien n’y a fait puisque les malfaiteurs sont arrivés à leurs fins, détruisant ainsi le 9 mars dernier toute une vie de travail !
Ils ont alors rompu leur silence et crié leur indignation et leur colère devant un système jusque là demeuré impuni et destiné à les réduire à l’impuissance.
Un collectif, sous le nom d’AITONE 2013, saluant leur courage et leur volonté de vouloir reconstruire malgré tout, s’est constitué, mais malgré les soutiens manifestés publiquement et la dénonciation du système d’oppression économique et individuelle qui gangrène la Corse jusqu’au plus petit village de l’intérieur, les malfaiteurs continuent d’agir en toute impunité sous le nez et à la barbe des enquêteurs !
Cette affaire est symptomatique d’une Corse qui se meurt, d’une Corse qui disparaît, celle où les valeurs positives du travail, du courage et de la solidarité, étaient la règle, surtout en milieu rural. Une Corse à identité suffisamment forte pour se rebeller contre toute injustice ou toute oppression, pour défendre la Liberté, à commencer par celle de tout homme de vivre et de travailler chez lui.
Aujourd’hui, à quoi bon lutter contre le désert rural et défendre la terre, si l’homme qui en fait le sel a disparu ? A quoi bon parler la langue, si ceux qui la pratiquent ne véhiculent pas les valeurs morales qui la transcendent ?
« Core in fronte è strada diritta, o ghjuventù ! » s’exclamait PAOLI en s’adressant à la jeunesse Corse.
Ùn ci hè piu, oramai, nè core nè fronte, ancu menu strada diritta !
Aurons-nous encore en nous la capacité de nous indigner, de nous rebeller contre l’oppression, même si l’oppresseur, comme ici, est surtout intérieur ?
Aurons-nous la dignité de nous dresser contre cette intolérable injustice, qui oblige ceux qui vivent de leur travail, au paiement de la dîme et au silence ?
Aurons- nous encore le courage de dénoncer haut et fort des pratiques qui gangrènent le lien social, et s’érigent en système, dans une économie exsangue, où les travaux publics deviennent source d’enjeu, et les procédures d’appel d’offres, le terrain d’une guerre larvée, qui justifie les pires moyens pour éliminer la concurrence ?
Peut on rester insensible devant cette escalade programmée, alors qu’ une entreprise corse lutte pour sa survie, qu’ un homme et sa famille vivent dans une angoisse permanente, dans un canton où la suspicion délite un peu plus chaque jour le lien social!
Que doit-on faire quand on est un honnête citoyen et que l’on se refuse de se soumettre à "la loi de la jungle" ? Quel recours individuel a - t’on lorsque le non droit prime la Loi, et que l’on est condamné à l’impuissance ?
Il semble plus facile en Corse d’user des services de l’Etat pour surveiller les propriétés privée de quelques notabilités bien en cour, que d’assurer la protection d’un petit entrepreneur menacé de mort.
Le deuxième attentat, survenu dans la nuit du 19 septembre, a marqué la détermination implacable de ceux qui veulent enterrer la Corse, celle que nous aimons et voulons continuer à défendre, dans un silence mortifère.
L’Etat, après avoir dénoncé l’omerta et fustigé le recours à la vendetta, invoquera certainement l’insuffisance de moyens et la difficulté des enquêtes en milieu rural : « on ne peut pas mettre un gendarme derrière chaque arbre ».
Or il est seul garant de notre sécurité. Et si l’Etat n’est pas protecteur de nos Droits et Libertés Fondamentales, c’est qu’il faillit une fois de plus ici, à une de ses missions essentielles !
En bon donneur de leçons, on nous renverra encore à nous-mêmes, nous jetant, ainsi, par défaut de justice, dans les bras tentateurs de l’auto défense, pour mieux nous condamner ensuite.
Un cycle pervers et une logique qui, depuis des décennies, ne se démentent ni ne se remettent en cause, et qui continuent ainsi à alimenter le mal en le laissant impuni.
Mais, il faut à un moment s’interroger : à qui profite le Crime ? Et que fait- on pour engager notre Ile sur la voie d’un véritable redressement, celui avant tout des consciences ?
Le domaine de prédilection de ces pratiques, souvent tues et parfois malheureusement mortelles, est le domaine des marchés de travaux publics, et au cœur de ces marchés et de leur attribution, l’élu lui-même devient une cible potentielle.
La condamnation claire par ceux qui nous représentent, de ces comportements crapuleux, qui polluent notre société et portent atteinte à la démocratie, et l’isolement de ceux qui les perpétuent, pourront seuls inverser la donne, et faire changer la peur de camp.
Jean Jacques et Gigi ont voulu eux même donner l’exemple de ce redressement, retroussant les manches pour reconstruire, et ainsi, montrer qu’ils avaient choisi le camp de la Vie et de la Dignité dans le Travail.
Ils ont reconstruit leur hangar, racheté et emprunté du matériel, voulu montrer que leur entreprise serait opérationnelle dès la saison hivernale.
Mais en dehors du courant de sympathie qu’ils ont suscité et du soutien des amis regroupés en collectif, et malgré la gravité des faits et leur répétition, aucune surveillance ou protection n’a été mise en place ni même proposée.
Seuls, ils ont dû faire face à la nécessité de se défendre, en s’équipant d’un nouveau système de vidéo surveillance pour tenter d’empêcher un renouvellement des faits pourtant prévisible.
Cette volonté de redressement et leur courage ne pouvaient être tolérés par ceux qui veulent les anéantir.
Et c’est ainsi que, dans la nuit du 19 au 20 septembre, date anniversaire de la Libération de la Corse, un nouvel incendie détruisait une pelle et la déneigeuse volontairement prêtée par un entrepreneur solidaire pour affronter les rigueurs de l’hiver à venir.
Une fois de plus tout était mis en œuvre pour empêcher l’entreprise d’honorer son marché, sans crainte de pénaliser ainsi toute l’activité d’une micro-région.
Sur le territoire d’une Corse hier libérée par le courage et le sacrifice d’hommes valeureux, faut-il laisser prospérer les sombres canailles et malfaiteurs associés qui ne visent qu’à opprimer l’autre pour satisfaire leurs intérêts personnels ?
Pour ce genre de crapules, le silence des élites vaut caution.
C’est pourquoi, nous, simples citoyens et électeurs de demain, demandons à chaque groupe et représentant élu, de condamner fermement et publiquement ces pratiques, et au- delà de cette condamnation, de prendre également position sur le déni de Justice auquel Jean-Jacques et Gigi Ceccaldi sont confrontés depuis de trop longs mois, et comme eux, tant d’autres …
Jean-Claude Acquaviva, Compositeur
Marie – José Bellagamba, Avocat,
Dominique Bianconi, Enseignante, membre du Svegliu Calvese
Jean-Baptiste Calendini, Universitaire
Thierry Casanova, Directeur du CER
Bianca Fazi, Médecin
Marcel Torracinta, Directeur Général d’établissements médico-sociaux
Jean-Pierre Orliac, Enseignant
www.corsematin.com/article/evisa/evisa-lentreprise-aitone-btp-encore-visee-par-un-incendie.1150839.html - 117k
08:45 Publié dans la violence en Corse, solidarité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : attentat d'evisa, gigi casabianca, le rackett en corse, jean-jacques ceccaldi, aitone tp | Facebook |