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30/05/2009

Avec Fernando Pessoa, une ode retrouvée

 Nul, dans la vaste forêt religieuse

Du monde innombrable, ne voit finalement

Le dieu de son savoir.

Seul ce que la brise emporte est ouï dans la brise.

Paillier Casta.jpg

Amour, divinités, tout ce que nous pensons

Passe, car nous passons.

(Poèmes païens, Fernando PESSOA)

09:41 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

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